| Titre : |
A MALIN, MALIN ET DEMI |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Richard Russo, Auteur |
| Editeur : |
10-18 |
| Année : |
2017 |
| Description : |
718 |
| Présentation : |
couv. ill en couleur |
| Format : |
17.5 |
| ISBN/ISSN : |
978-2-264-07266-5 |
| Prix : |
10.9 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Mais qui pourrait bien vouloir habiter North Bath, ville putride où les cimetières sont tellement détrempés que les cercueils glissent parfois au bas de la colline ? Où le parc d’attractions de « L’ultime évasion » a fini englouti dans les marécages avec les grands projets immobiliers ? La cité continue de dépérir, tandis que ses habitants acceptent, stoïques, la vacuité de leur existence. Douglas Raymer en est l’irrésistible archétype. Chef de la police, veuf torturé et conscient de sa médiocrité, Raymer n’est pas à proprement parler un héros, mais on aime ses névroses à hauteur d’homme, ses lâchetés, son indécision chronique. Même chose pour Sully et son pote Rub, deux bras cassés unis par l’amitié, l’alcool et la cigarette. Il faut y ajouter un vrai méchant en la personne de Roy Purdy, un chien fou, un obsédé sexuel, une invasion de serpents, et le décor est en place pour une histoire ramassée sur quarante-huit heures. Un défi littéraire parfaitement maîtrisé, car A malin, malin et demi est un roman d’une grande drôlerie affectueuse, porté par des dialogues superbes, un grand sens du rythme et un pessimisme de haut vol. |
A MALIN, MALIN ET DEMI [texte imprimé] / Richard Russo, Auteur . - 10-18, 2017 . - 718 : couv. ill en couleur ; 17.5. ISBN : 978-2-264-07266-5 : 10.9 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
Mais qui pourrait bien vouloir habiter North Bath, ville putride où les cimetières sont tellement détrempés que les cercueils glissent parfois au bas de la colline ? Où le parc d’attractions de « L’ultime évasion » a fini englouti dans les marécages avec les grands projets immobiliers ? La cité continue de dépérir, tandis que ses habitants acceptent, stoïques, la vacuité de leur existence. Douglas Raymer en est l’irrésistible archétype. Chef de la police, veuf torturé et conscient de sa médiocrité, Raymer n’est pas à proprement parler un héros, mais on aime ses névroses à hauteur d’homme, ses lâchetés, son indécision chronique. Même chose pour Sully et son pote Rub, deux bras cassés unis par l’amitié, l’alcool et la cigarette. Il faut y ajouter un vrai méchant en la personne de Roy Purdy, un chien fou, un obsédé sexuel, une invasion de serpents, et le décor est en place pour une histoire ramassée sur quarante-huit heures. Un défi littéraire parfaitement maîtrisé, car A malin, malin et demi est un roman d’une grande drôlerie affectueuse, porté par des dialogues superbes, un grand sens du rythme et un pessimisme de haut vol. |
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